Auditeur puis observateur à l’UNESCO (C.I.B.) devenu élément "bio-catalyseur" civique.
Encouragé par le Professeur Christiaan Barnard, le responsable du Cercle Bleu devient d'abord auditeur au "Comité International de Bioéthique" (C.I.B.) de l’UNESCO. Le Professeur Yves Coppens facilite le premier contact. La participation aux travaux de ce Comité permet d'élever le niveau de crédibilité du mouvement. Les interventions - impossibles au début - n'empêchent pas de nombreux contacts qui ne débouchent pas, pour autant, sur le "positionnement "des auditeurs, des observateurs et des administrateurs, à l'occasion de chacune des sessions. La tâche semble donc extrêmement difficile.
Un courrier au Directeur Général de l'UNESCO, expliquant les tenants et les aboutissants du Cercle Bleu, attribue à son responsable un statut d'observateur dans le domaine de la communication. Ses interventions aboutissent à la reconnaissance du mouvement comme moteur de certaines idées présentées par l'UNESCO. Une proposition de complément à l'article 8 de la "Déclaration Universelle de Bioéthique", à Mexico puis reformulée à Paris, conforte le Cercle Bleu dans son rôle de "bio-catalyseur" civique. Mais l'idée n'emporte l'adhésion que du quart des Administrateurs. L'amendement est reporté à plus tard ...