Avec le "Registre du choix de fins de vie" - qu'elle soit lente ou brutale - plus de cas "Vincent Lambert".
Geste du Docteur Nicolas Bonnemaison.
Comment « positiver », face à une situation complexe ?
Aidons le Corps médical, dans l’accomplissement de sa tâche.
Cause. La raison en est simple. La « Loi Caillavet » (1976), reconduite plusieurs fois en « Loi de bioéthique », n’est pas remise en question par le Parlement qui vient de la re-voter, cette année. Les citoyens l’acceptent, et le nombre limité de personnes qui possèdent une carte portant leur décision (< 20%), aussi bien pour le don d’organes que pour l’arrêt des soins, n’encourage pas les Élus à changer ces deux lois.
En effet, ce n’est pas un défilé dans la rue ou une pétition de moins de 20.000 personnes sur internet qui va faire évoluer ces 2 lois, l’une reposant sur l’intérêt médical de la société à prélever des organes, l’autre sur celui moral de ne pas toucher au tabou d’une mort provoquée.
La solution, à plus ou moins long terme, est pourtant simple. Que tout adulte ait la sagesse ou le courage de prendre une décision et de l’officialiser en l’écrivant, mieux, en la faisant enregistrer, par respect pour sa famille, par considération pour le Corps médical, mais aussi par souci d’économie pour le système de Santé.
Si le nombre d’adultes qui prennent une décision augmente, les Élus sauront ce qu’ils auront à voter.
« Courage ! Décidons ! Écrivons ! »
« T’as rien écrit, t’es POUR le prélèvement: intérêt social. »
« T’as rien écrit, t’es POUR la poursuite des soins: intérêt moral. »
georges.cristini@cerclebleu.org
À VOTRE DISPOSITION : 0559213142
Dire NON ou OUI au prélèvement d’organes : un acte civique de courage.
Georges Cristini,
Président du CERCLE BLEU